1 mai 2010
les oies sauvages remontent la seine
Difficile de prendre en photo ces engins volants. Ces oiseaux ventrus qui se font remarquer grâce au bruit de la résistance de l'air sur leurs ailes. Que pouvons nous faire pour les accueillir comme il se doit au bord du fleuve? Même après une bredouille, lorsqu'aucune touche n'a pu couvrir le bruit de l'eau par ce temps timidement ensoleillé, ça fait plaisir. Truites, rotengles et mulets font copain-copain aujourd'hui le temps d'un bain de soleil.L'heure n'était pas au leurre. Mais où sont passées les aspes? Sont-ils avec les aspics, ces bêtes affreuses qui ,si elles étaient douées de paroles pourraient nous conter les plus belles histoires du monde pour nous faire pleurer, un peu comme les banquiers.
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